Membres de la délégation. Picture / UGC.
Par notre correspondant
Le secrétaire du Cupboard à l’agriculture et au bétail, Mutahi Kagwe, a récemment engagé une délégation commerciale iranienne pour discuter de la possibilité de rouvrir le commerce du thé entre les deux pays.
M. Kagwe a déclaré que cette décision faisait partie de la stratégie plus giant du Kenya pour renforcer les liens bilatéraux entre l’Iran et les régions plus larges d’Asie du Moyen-Orient et d’Asie centrale et s’assurer que son thé de haute qualité proceed d’atteindre les marchés mondiaux.
Le CS était celui accompagné de principales events prenantes du thé native, notamment le président de la Kenya Tea Improvement Company (KTDA), M. Chege Kirundi, et le PDG M. Wilson Muthaura, Kagwe a rencontré la délégation iranienne pour discuter des relations commerciales et le potentiel d’un partenariat mutuellement bénéfique.
L’ambassadeur du Kenya aux Émirats arabes unis, M. Milimo Nganga, a également souligné l’engagement du Kenya à étendre ses relations commerciales avec les régions plus larges du Moyen-Orient et d’Asie centrale.
L’interdiction commerciale contre l’Iran, imposée par les États-Unis et plusieurs pays occidentaux, a été un impediment essential à l’accès du pays aux marchés mondiaux.
Ces sanctions, qui étaient particulièrement strictes après l’accord nucléaire de 2015, ont restreint la capacité de l’Iran à importer certaines marchandises, y compris des produits agricoles tels que le thé.
La scenario s’est aggravée à la suite de la réimposition des sanctions américaines en 2018 dans le cadre de la campagne de «pression maximale», qui ciblait l’économie iranienne, y compris le commerce dans des secteurs critiques.
Pendant plusieurs années, ces sanctions ont gravement réduit la capacité de l’Iran à s’engager dans le commerce worldwide, affectant ainsi son accès aux marchés étrangers pour des produits comme le thé.
Cependant, à mesure que les tensions diplomatiques se sont déchetées et que certaines restrictions ont été levées, l’Iran a commencé à chercher de nouveaux partenaires commerciaux pour reconstruire son économie.
La réouverture du commerce du thé avec des pays comme le Kenya pourrait avoir un effet transformateur sur le marché iranien, qui est depuis longtemps un grand consommateur de thé.
L’Iran a l’un des taux de consommation de thé par habitant les plus élevés au monde, le thé étant un incontournable de la tradition iranienne. La demande de thé est robuste et, historiquement, l’Iran s’est appuyé sur les importations pour satisfaire cette demande.
Le marché iranien est particulièrement désireux de thé noir de haute qualité, qui provient de pays comme l’Inde, le Sri Lanka et le Kenya. Avant les sanctions, le Kenya était l’un des plus grands exportateurs de thé en Iran, le thé kenyan étant très apprécié pour sa riche saveur et sa qualité supérieure.
Le Kenya, en tant que premier exportateur mondial de thé noir, produit plus de 400 tens of millions de kilogrammes de thé par an. L’industrie du thé kenyan soutient plus de six tens of millions de personnes, notamment des agriculteurs, des transformateurs et des exportateurs.
La majorité des exportations de thé du Kenya se rendent aux marchés traditionnels au Royaume-Uni, en Russie et au Moyen-Orient. La réouverture potentielle du marché iranien représente une énorme opportunité pour les producteurs de thé kenyans d’élargir leur portée, en particulier compte tenu de la préférence historique de l’Iran pour le thé kenyan.
La réouverture du commerce du thé entre le Kenya et l’Iran changerait la donne, en particulier pour les producteurs de thé kenyans et la chaîne de valeur du thé plus giant.
Comme M. Kagwe l’a souligné lors de la réunion avec la délégation iranienne, la réaccélération du marché robuste de l’Iran pourrait accroître la demande de thé kenyan, fournissant ainsi un coup de pouce majeur aux positive aspects d’exportation du Kenya.
L’industrie du thé kenyan, déjà la pierre angulaire du secteur agricole du pays, pourrait bénéficier à la fois de ventes à court docket terme et de croissance à lengthy terme dans la région.
En outre, cette décision renforcerait non seulement les relations bilatérales du Kenya-Iran, mais offrirait également des opportunités pour l’growth du commerce régional sur les marchés plus larges du Moyen-Orient et d’Asie centrale.
L’Iran, avec sa place stratégique dans la région, pourrait servir de passerelle pour que le thé kenyan pénètre sur de nouveaux marchés. Ceci, à son tour, pourrait ouvrir des voies pour d’autres exportations agricoles du Kenya, améliorant le commerce international entre les deux pays.
Pour le Kenya, qui a été confronté à des défis dans la diversification de ses marchés pour le thé, le marché iranien présente une opportunité critique. De plus, cette décision s’aligne sur la imaginative and prescient stratégique du Kenya d’améliorer les relations commerciales avec les nations au Moyen-Orient, une région avec une demande croissante de produits alimentaires de haute qualité.
La réouverture du commerce du thé kenyan vers l’Iran n’est pas simplement une opportunité économique; Il représente un effort diplomatique plus giant pour favoriser la coopération régionale et améliorer la place du Kenya en tant que chef de file des exportations agricoles.
Le renforcement des relations bilatérales avec l’Iran pourrait donner au Kenya une affect accrue au Moyen-Orient et en Asie centrale, qui sont toutes deux des régions importantes pour le commerce et l’investissement.
De plus, cette décision signalerait l’engagement du Kenya à favoriser un marché d’exportation plus diversifié et plus résilient pour ses produits agricoles. Alors que le monde se rétablit des perturbations causées par la pandémie Covid-19, ces accords commerciaux deviennent de plus en plus vitaux pour les pays qui cherchent à étendre leur présence sur les marchés mondiaux.
Alors que le Kenya et l’Iran explorent de nouvelles avenues commerciales, en particulier dans le secteur du thé, le potentiel de croissance et de prospérité est immense. La réouverture des exportations de thé vers l’Iran pourrait renforcer la place du Kenya en tant que premier exportateur mondial de thé noir, tout en servant de pont pour une coopération supplémentaire entre les deux pays.
Les prochaines étapes du dialogue entre les responsables kenyanes et les cooks d’entreprise iraniens détermineront probablement la trajectoire future de cette importante relation commerciale, les deux nations prêtes à bénéficier d’une présence élargie du marché au Moyen-Orient et au-delà.